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**Linux - Logiciel Libre**
Le CNLL dénonce une «stratégie d’exclusion» des entreprises françaises du logiciel libre dans les politiques publiques.
Le groupement qui représente la filière française des logiciels libres alerte sur la confusion créée par le concept de «communs numériques» et réclame l’application précise de la loi République numérique.
Gare aux détails de vocabulaire qui peuvent tout changer en fait: c’est le sens de la réaction du Conseil national du logiciel libre (CNLL, qui indique fédérer plus de 300 entreprises), qui «alerte les pouvoirs publics sur les dangers liés à l’emploi du concept de « communs numériques » dans les politiques publiques. Cette terminologie cache, sous les apparences de comportements vertueux, la réalité d’exclusions stratégiques dont les éditeurs de logiciels libres font les frais, exclusion qui menace la croissance, l’innovation et la souveraineté numérique de la France et de l’Europe.»
« Tous les acteurs : les États, le secteur privé et la société civile »
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Acteurs du Libre : l’édition 2025 du concours est ouverte !
Professionnels de l’open source ou responsables d’entreprises utilisatrices de solutions ouvertes : candidatez au concours des Acteurs du Libre et tentez votre chance de mettre votre projet sous les projecteurs à Open Source Experience 2025 !
Le concours vise à récompenser les actions qui contribuent au développement du Logiciel Libre et de l’Open Source. Il s’adresse aux éditeurs, intégrateurs, entreprises ou administrations intégrant des solutions ouvertes, start-ups proposant de l’open source, associations ou projets centrés sur le Libre. Les prix des Acteurs du Libre permettent de mettre en lumière les réussites entrepreneuriales de la filière libre française et européenne. Le concours est organisé par le CNLL dans le cadre d’Open Source Experience, qui change de lieu cette année et se déroulera à la Cité des Sciences de Paris les 10 et 11 décembre 2025.
Les candidats peuvent soumettre dans l’une des six catégories :
Prix de la meilleure stratégie Open Source Prix de l’entreprise pour un numérique ouvert et éthique Prix de la meilleure collaboration public-privé Prix du développement commercial Prix APELL européen Prix spécial du Jury
La date limite pour postuler et envoyer le dossier de participation complété est le 10 octobre 2025. La cérémonie de remise de prix aura lieu à l’occasion d’Open Source Experience, les 10 et 11 décembre à Paris.
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Le noyau Linux 6.16 est là, largement tourné vers les performances.
La nouvelle mouture du noyau Linux est sortie ce dimanche 27 juillet. Une version assez attendue, car contenant de nombreuses améliorations pour le matériel, que l’on parle de support ou de performances. On trouve bon nombre d’apports pour Intel, AMD et NVIDIA notamment.
Chez AMD par exemple, avec d’importants changements dans le pilote et sous-système AMD-SBI, avec à la clé une meilleure surveillance de la puissance et de la température. La Secure Encrypted Virtualization (SEV) est enfin supportée, pour renforcer la sécurité des machines virtuelles chiffrées (sur serveurs utilisant des processeurs AMD). Le nouveau noyau identifie en outre plus facilement les plantages et causes de réinitialisation sur l’ensemble des processeurs Zen.
Côté Intel, on trouve aussi des améliorations pour la sécurité des machines virtuelles, avec le support de l’hôte Trust Domain Extensions (TDX) pour KVM pour renforcer l’isolation. La surveillance du matériel est là aussi renforcée, notamment la température, permettant notamment l’apparition de garde-fous pour l’overclocking.
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Debian 13 passe son horloge en 64 bits pour éviter le bug de l’an 2038.
Ce bug de l’an 2038 est similaire à celui de l’an 2000 : à cause d’un codage de la date dans un espace trop petit, le compteur risque de revenir à zéro une fois la limite atteinte. Pour le 1er janvier 2000, le risque était ainsi de voir la date revenir à 00, soit 1900.
Le problème réside cette fois dans le « timestamp Unix ». Il compte les secondes écoulées depuis le 1er janvier 1970 à minuit, heure UTC. Pour stocker cette valeur, les systèmes Unix et Linux se servent d’une valeur de type « signed 32-bit integer », dont la valeur positive maximale est de « + 2 147 483 647 ».
Dans la situation qui nous occupe à présent, cette valeur sera atteinte le 19 janvier 2038 à 03:14:07 UTC très précisément. La seconde suivante, le dépassement entrainera un retour à la valeur négative minimale de l’entier 32 bits, soit « – 2 147 483 64 », ce qui correspond à 1901.
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Le terminal Linux d’Android a désormais un incroyable talent.
Jusqu’à récemment, le terminal Linux intégré à Android n’était qu’un outil en ligne de commande. Mais la donne vient de changer, selon le site Android Authority : Google expérimente désormais l’exécution d’applications Linux graphiques sur Android, une avancée majeure pour tous les passionnés de bidouille, de logiciels libres, et même de rétro-gaming.
Dans la dernière version Canary d’Android 16, le Terminal propose désormais un bouton “Display” qui permet d’activer une interface graphique complète, ouvrant la voie à l’exécution d’applications bureautiques, de jeux open source comme Doom, et, à terme, à des logiciels Linux puissants sur mobile.
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Le logiciel open source Blender prépare son arrivée sur l’iPad.
Blender, le logiciel open source phare de la création 3D, s’apprête à franchir une nouvelle étape majeure : son portage sur tablette, à commencer par l’iPad Pro. C’est Dalai Felinto, l’un des responsables du développement chez Blender, qui l’a annoncé dans un billet publié sur le site officiel du projet. L’objectif est ambitieux : rendre Blender entièrement utilisable sur des plateformes tactiles tout en conservant sa richesse fonctionnelle, son interface modulaire et son esprit communautaire.
Contrairement à d’autres logiciels qui adaptent leurs fonctionnalités pour séduire un public plus large, l’équipe de Blender insiste : l’expérience sur tablette visera les utilisateurs habituels du logiciel, qu’ils soient artistes 3D, animateurs ou illustrateurs numériques. Il ne s’agit donc pas d’un Blender simplifié pour le grand public, mais d’une interface repensée pour répondre aux contraintes spécifiques des tablettes comme l’iPad Pro, la Surface de Microsoft ou encore les MatePad de Huawei.
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