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**Linux - Logiciel Libre**
Mozilla défend l’ouverture du web face au procès « Google Search ».
Aux États-Unis, le procès antitrust contre Google vient de franchir une étape clé. Le juge Amit Mehta a rendu sa décision sur les accords de recherche passés par Google, qui imposaient son moteur comme choix par défaut sur la plupart des navigateurs. La réaction de Mozilla est connue, par la voix de Laura Chambers.
Le tribunal a tranché : Google ne pourra plus restreindre les navigateurs dans leur capacité à proposer d’autres moteurs de recherche ou services d’IA générative. Une avancée qui ouvre la voie à davantage de concurrence et de choix pour les utilisateurs. Mais l’enjeu allait plus loin. Certains proposaient d’interdire purement et simplement à Google de verser des revenus aux petits navigateurs comme Firefox en échange du référencement de son moteur. Une mesure qui, selon le témoignage de Mozilla, aurait fragilisé les acteurs indépendants et réduit la diversité dans l’écosystème. Le juge a suivi cet argument, citant explicitement la nécessité de préserver l’innovation et de soutenir l’unique moteur de rendu indépendant, Gecko.
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Debian 13.1 disponible pour les nouvelles installations
La treizième version majeure de Debian est sortie le 9 août, avec à son bord une vaste modernisation de la base technique. Avec un noyau Linux beaucoup plus récent (les Debian ne sortent en moyenne que tous les deux ans) et tous les paquets mis à jour (première utilisation de Plasma 6 par exemple), « Trixie » a fait souffler un vent de fraicheur.
Pour les personnes qui attendaient cependant qu’au moins un tour de piste soit fait sur les correctifs de bugs, l’heure est peut-être venue. Debian 13.1 est disponible depuis samedi soir, à travers une nouvelle série d’images ISO. À l’heure où nous écrivons ces lignes, ces images n’existent pour l’instant que pour l’architecture amd64 (x64).
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Tails 6.19 est disponible : quoi de neuf dans la distribution Linux sécurisée ?
Le système d’exploitation GNU/Linux Tails, popularisé par Edward Snowden et dont le destin est désormais lié à Tor, poursuit son évolution avec la sortie d’une mise à jour de sécurité, Tails 6.19. Voici ce qu’il faut retenir de cette nouvelle version.
La distribution Linux sécurisée Tails (The Amnesic Incognito Live System) vient de sortir en version 6.19. Cet article vous présente les nouveautés de cette version ainsi qu’un rappel de ce qu’est Tails et pourquoi elle reste une référence en matière de vie privée numérique. C’est quoi, Tails ?
Tails (The Amnesic Incognito Live System) est une distribution Linux sécuritaire basée sur Debian. Elle entend préserver l’anonymat de ses utilisateurs en ne laissant aucune trace numérique sur la machine. Toutes les connexions réseau transitent via Tor ou sont bloquées. L’OS peut être lancé via une clé USB depuis la plupart des ordinateurs (fabriqués durant la dernière décennie, Mac compris). Vous pouvez soutenir le projet Torvia cette page de dons.
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📣 Souveraineté numérique : pas de pilote à la commande publique !
Une commission d'enquête sénatoriale alerte sur l'absence de pilotage politique de la commande publique, et appelle à « mieux exploiter [son] potentiel » au service de la souveraineté numérique européenne.
Un document assez accablant, qui conforte l'April dans sa conviction de l'urgente nécessité d'une politique publique globale et ambitieuse de priorité au logiciel libre.
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Comment Firefox accélère enfin son moteur d’IA local (en open source).
Mozilla continue d’intégrer l’intelligence artificielle directement dans Firefox, mais sans dépendre du cloud. Depuis l’an dernier, le navigateur embarque son propre Firefox AI Runtime, un moteur local qui alimente discrètement certaines fonctionnalités comme la génération automatique de texte alternatif dans les PDF ou le regroupement intelligent d’onglets.
Jusqu’ici, ce moteur reposait sur Transformers.js, une bibliothèque connectée à onnxruntime-web, une version WebAssembly de l’environnement ONNX Runtime. Mais cette approche avait des limites de performance, notamment lors des premiers lancements où les calculs restaient lents. Mozilla a donc choisi de remplacer cette couche par une intégration native en C++. Concrètement, cela permet aux modèles d’IA de tirer parti des instructions matérielles avancées des processeurs modernes, comme AVX-512 sur Intel ou NEON sur Apple Silicon.
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